[TEST] Deep Deep Deep Nightmare : plongée au cœur d’un cauchemar pixelisé

Sorti le 24 avril 2025, Deep Deep Deep Nightmare est un jeu de tir en 2D en vue du dessus (top-down shooter) développé par Nato Games et édité par QUByte Interactive qui propose une aventure solo où l’on incarne un petit garçon prisonnier d’un cauchemar peuplé de monstres et de pièges, conséquence d’un repas trop copieux avant de dormir.
Le joueur devra survivre à des vagues d’ennemis, affronter des boss et utiliser un arsenal varié pour espérer s’échapper de ce monde onirique et inquiétant.

Un festin qui tourne au cauchemar

Le point de départ est simple mais efficace : un avertissement maternel ignoré, et voilà le héros plongé dans un univers cauchemardesque.
L’histoire, volontairement minimaliste, sert surtout de prétexte à l’action. L’univers repose sur une succession de niveaux infestés de créatures étranges et de pièges, avec des affrontements contre des mini-boss et boss plus imposants.
L’ambiance joue sur la peur légère et l’absurde, en cohérence avec la classification PEGI 7.

Couleurs sombres et visions oniriques

Le jeu adopte une vue du dessus en 2D, avec un style visuel clair et lisible. Les environnements sont pensés pour mettre en valeur la densité d’ennemis et la lisibilité des pièges.
L’identité visuelle, bien que simple, soutient efficacement l’action.

Un cauchemar classique mais efficace

Deep Deep Deep Nightmare ne révolutionne pas le genre du top-down shooter, mais il mise sur un mélange de combats contre des hordes, de gestion d’arsenal et de boss fights pour maintenir l’intérêt.
L’originalité réside surtout dans son contexte narratif décalé et dans l’intégration de pièges environnementaux qui ajoutent une dimension stratégique.

Tirer, esquiver, survivre

Le gameplay repose sur des mécaniques éprouvées : déplacements libres en vue du dessus, tirs multidirectionnels, gestion d’armes et de sorts.
La variété de l’arsenal permet d’adapter sa stratégie selon les ennemis et les situations.
Les vagues de monstres et les pièges imposent un rythme soutenu, demandant réflexes et anticipation.

Un cauchemar qui se répète

La progression se fait par niveaux de difficulté croissante, avec des vagues d’ennemis et des boss à vaincre.
La rejouabilité repose sur la volonté d’améliorer ses performances, de tester différentes combinaisons d’armes et de sorts, et de relever le défi des niveaux plus exigeants.
Toutefois, l’absence d’éléments narratifs évolutifs limite la variété sur le long terme.